Permanence du maire et des adjoints de 10h à 12h, le samedi, sur rendez-vous à prendre auprès du secrétariat de mairie.
Agenda
Permanence du maire et des adjoints de 10h à 12h, le samedi, sur rendez-vous à prendre auprès du secrétariat de mairie.
Les premières sépultures se faisaient autour de l’église et éventuellement à l’intérieur. Vers 1650, un cimetière fut organisé à l’emplacement de l’actuelle place Jasnin. Puis, pour des raisons de salubrité, une loi de 1884 interdit la présence de cimetière dans les bourgs. Il fut donc déménagé en 1886 à son emplacement actuel. On y voit un calvaire classé Monument historique et de beaux cyprès qui ont été primés par le conseil général.
De la Révolution à 1862, sur un plan national, l'école ne fut pas un souci constant et prioritaire. La commune a loué des maisons successives pour en faire office. Les instituteurs, quand il y en avait, se succédaient à un rythme rapide. C’est en 1862 que la commune fit l’acquisition d’un terrain sur la route de Manthelan et y fit construire une école pour les garçons ; les travaux furent terminés en 1868. C’est l’emplacement de l’école actuelle. Les filles profitaient d’une école libre installée dans l’actuelle salle Jeanne d’Arc, tenue par des sœurs de l’institution de la Providence. Cet enseignement qui donnait toute satisfaction et ne grevait pas les finances de la commune (car pris en charge par un bienfaiteur) dut être fermé de par la loi en 1902. Il fallut alors construire une nouvelle salle attenante à l’école des garçons. Depuis fin 2011, les élèves et leurs enseignants disposent d’une école agrandie, modernisée et d’une cantine rénovée. 1877 : date à laquelle un premier chapellois obtient son certificat d’étude. 1937 : ouverture de la première cantine dans la maison de Mme Désirée Berleau.
En 2002, la commune s’est porté acquéreur d’un parc de 5 Ha en centre bourg, derrière l’église. Ce site anciennement exploité, se compose de parcelles de prairies et de bois. Il a été classé en Espace Naturel Sensible (E.N.S.). Un descriptif précis de l’habitat, de la faune et de la flore a été établi ainsi qu’un plan de gestion.
Le presbytère se trouvait à gauche de l’église. En 1796, il fut vendu ainsi que des terres, comme biens nationaux, à Lambert Marchau, curé constitutionnel de cette paroisse. Lorsqu’en 1803 la religion fut de nouveau autorisée, le curé fut logé dans différentes habitations louées. De 1816 à 1907 il occupa l’ancien bureau de poste avant de s’installer dans le presbytère en face de l’église. Ce bâtiment est maintenant aménagé en studios et appartements.
En 1789, la paroisse est administrée par une assemblée villageoise et les délibérations ont lieu dans l’église ou au dehors. Ce n’est qu’en 1868 et la construction de l’école des garçons que la mairie, pour la première fois, dispose d’un local qui lui est destiné en propre. Jusque là, la Maison Commune était dans un bâtiment loué. Elle a été déménagée en 1964 et installée place Jasnin.
Les Sables, les Marchais (les mares), la Tuffelière (tuffeau), les Marnières (terrain argileux), les Falunières, le Pré Pourri, la Planche de Pierres (terrain rempli de pierres plates), la Perruche (terrain plein de petites pierres), la Tuilerie (lieu où on extrayait de l’argile pour faire des tuiles)
Le Puy-Bérault (puy = petite colline), la Varenne et Bellevue (espaces dégagés). Par la nature des plantes qui y poussent ou poussaient : les Bruères, la Brosse (les broussailles), la Genière (genêts), les Maries-Grattes (terres envahies de Grattons), le Chêne Vert, la Taille du Poirier, la Sarnue (mauvaise herbe) l’Écorche Bœuf (la plante appelée « arrêt de bœufs » les blessait aux sabots et ils refusaient d’avancer), le marchais aux Moutons (mottes de jonc), le Fay (frêne), la Noirasse (planté de noyers), la Voltière (lieu où abondent les volets, les nénuphars)
La Loubitte, le Carroi aux Loups, la Garenne, les Remises (gros animaux). C’est en 1883 qu’on signale, semble t’il pour la dernière fois, une forte présence de loups dans les bois et forêts d’Indre-et-Loire.
(taille des) Louris, (taille des) Allouards, Robins (les Robineries), la Blanchardière, la Belladière, la Massotière, la Follèterie, la Guichetterie, la Démennerie, les Saulquins, les Villiers, les Racinaux, les Boireaux.
La Motte = motte féodale où était construit un château sommaire en bois. La Justice = à l’emplacement de la potence seigneuriale. Les croix : Guimas, Berthault, de Paradis, etc…
Comme Monfouet = male factum : où le mal a été fait. La Croix Tire-Œil ou Croix-Tire-L’œil : il y eut dans le secteur de Ligueil dont l’emblème est d’azur avec un œil d’argent, de terribles luttes entre catholiques et protestants. La ville fut d’abord perdue par les catholiques puis reprise par eux en 1569. En représailles un chef protestant eut l’œil crevé et fut brûlé vif. À la Croix-Tire-L’œil, qui n’est pas très éloignée de Ligueil, il y a effectivement une croix. Est-ce une réminiscence de ces évènements ? La pièce de Lisa : deux hypothèses. Soit à cet endroit fut trouvé un lézard géant (Lisa = lézard en vieux français). Soit il y eut aux environs de 1900 un journalier appelé Michau Liza (il travaillait pour M. Saulquin).
Mairie de La-Chapelle-Blanche-Saint-Martin - 2 place Jasnin, 37240 La Chapelle-Blanche-Saint-Martin
Tél : 02 47 59 62 13 - Nous contacter - Données personnelles - Mentions légales - imagidee 2015